Écrit : essai en cours, (déroulement)
Le végétal dans la littérature contemporaine.
(Lire la présentation de mon projet sur la page en cliquant ici. Le titre est encore à revoir).
Voici le déroulement de mon travail, dans ses grandes lignes, depuis la notification la plus récente jusqu’à celle de départ. (J’accepte propositions, conseils et “tuyaux”. Merci d’avance.)
21/02/2024
Je publie (ou mets à jour) mes bibliographies dans “listes”, ici et sur les sites en ligne.
– Fiction
– Non fiction.
01/02/2024
Je cherche des beta lecteurs et lectrices.
24/12/2023
et de nouvel an!
Bonne et heureuse année 2024.
21/12/2023
Mon travail d’écriture est terminé. Il est plus long que je ne le pensais au départ. Mais j’ai eu tant de choses à dire – tout en en rejetant également autant pour tenter de rester dans un volume que je considérais comme acceptable – que je sais déjà qu’il m’en resterait tant à ajouter.
Mais je m’arrête. Il en sera ainsi.
Je vais maintenant tenter de le partager avec celles et ceux qu’il intéressera.
Je corrige les coquilles, espaces en trop et autres scories typographiques.
Les fêtes approchent et je vais m’interrompre un moment encore.
03/11/2023
Des vacances, un jury (Landerneau) à assurer avec lectures et discussions sur les quatre finalistes, quelques pages plus loin, me revoici. Toujours motivée, mais toujours en train de jongler avec mes priorités. Après diverses lectures et actualités, le sujet de mon travail semble bien au cœur des préoccupations de nombre de mes contemporain.es. J’en suis heureuse et rassurée. Il me faut donc aller jusqu’au bout de ce projet.
10/ 08/2023
Finalement, tout bien réfléchi, j’enlève les illustrations (les photos) qui rallongent mon essai et qui n’apportent pratiquement que le plaisir des yeux. Je peux les ajouter (je les propose) si un éditeur le souhaite. Je les garde donc en réserve.
09/08/2023
Je sélectionne des photos qui corroborent le propos principal de chacune des parties qu’elle illustrent. Choix difficile : hors droits d’auteur, photos significatives et “jolies”, pertinentes…
Je vérifie les notes de bas de page : les règles de typographie et leurs correspondances.
J’enlève quelques citations.
Je retravaille mes annexes. Il y en a quatre :
Annexe 1 : Œuvres dont le titre est d’ordre végétal et les « Arbres-compagnons » qui leur sont associés.
Annexe 2 : Bibliographie des ouvrages théoriques et documents de non fiction.
Annexe 3 : Media et autres supports, quelques références et adresses.
Annexe 4 : Définitions et citations in extenso.
03/07/2023
Découverte à Paris dans le parc de Bercy de “la maison du jardinage” et de ses programmes.
22/06/2023
J’achève un tableau approfondi sur les Arbres-compagnons : voir ici que j’inclus à la place d’une liste bibliographique simple.
07/04/2023
La rédaction est terminée, introduction et conclusion incluses.
Le texte fait 117 pages + 13 pages d’annexes + 3 pages d’ illustrations, soit un total de 133 pages A4.
Je passe à la relecture.
13/03/2023
J’ajoute quelques lecture dont Les racines du ciel, de Romain Gary, Gallimard 1972 à ma bibliographie : un roman emblématique de la défense des éléphants et de la nature africaine.
03/03/2023
En cours d’écriture. Il me reste l’introduction et la conclusion à peaufiner.
Je pense à inclure des illustrations : une page après chaque partie, soit trois pages, avec quatre/cinq photos environ.
25/11/2022
J’ai atteint les cent pages en A4, ce qui représente grosso modo le double en édition brochée. Je ne voudrais pas trop dépasser cette limite pour obtenir un essai maniable et accessible. Avec la remise en forme de l’intro + concl, je vais devoir couper, débroussailler au maximum afin de rester dans mes limites.
20/11/2022
Si j’ajoute (toujours) des lectures, mon panel s’agrandit et retarde (il est vrai) un tantinet la fin de mon étude.
Néanmoins, mon plan est fin prêt, l’ensemble est plus ou moins arrêté (à part quelques références et exemples qui viendront en sus), et l’écriture du corps principal est achevée. Il me reste à peaufiner l’introduction et la conclusion (en brouillon).
10/11/2022
Quelques lectures viennent s’ajouter encore… En attendant, je vous propose un jeu de mots casés sur les arbres (voir dans la catégorie ” jeu, liste et collection”)
25/10/2022
Je vous propose un quiz (à jouer ici) sur les arbres les plus souvent cités dans la littérature.
C’est un petit medley qui mélange époques et nationalités, auteurs et autrices et dont je recommande les livres cités (entre autres).
Ce quiz n’est ni exhaustif ni publicitaire. Il n’indique pas mes préférences non plus. Il se focalise sur les arbres les plus emblématiques et les plus couramment mis en valeur par l'(in)conscient collectif.
(voir dans la rubrique “jeu, liste et collection”)
Quelques titres supplémentaires :
– Hervé Brunon (dir), Le jardin comme labyrinthe du monde
– Cédric Le Penven, Verger
– Karel Schoeman, Le jardin céleste
13/10/2022
Je reviens après de longues vacances, quelques soucis personnels et des lectures en plus.
Je continue mon projet d’écrire ce travail sur le végétal dans la littérature contemporaine, qui prend bonne forme.
23/06/2022
Après lecture de la liste “Histoires de jardins” sur Babelio, je commande quelques livres théoriques supplémentaires. Le sujet est riche. Son foisonnement garde mon intérêt vivant et mon travail en constante évolution. Cet essai est une étude de longue haleine, je ne suis pas pressée et le mène de front avec mes autres activités.
15/05/2022
Je réajuste mes commentaires à mon travail initial.
29-30/04 et 01/05/2022
Trois jours à Deauville à l’occasion de la journée organisée aux Franciscaines de Deauville (voir ici).
– Exposition “Vous êtes un arbre !” (voir la présentation ici).
– Déjeuner au Réfectoire autour d’une grande table commune où les discussions s’entremêlent (voir ici) .
– Conférence sur le choix des arbres dans un jardin • La conférence s’est terminée avec les questions du public et les réponses de Marc Brillat-Savarin.
De plus :
– Visite du parc des Enclos Calouste Gulbenkian (voir ici).
– Le catalogue de l’exposition (lire ici).
– Fabrice Hyber (à écouter ici).
Ma réflexion s’enrichit et mon texte en profite.
11/04/2022
Les plus vieux (et extraordinaires) arbres de notre planète ,à lire, à voir ici
04/04/2022
Quelques dernières lectures (j’arrive à une cinquantaine de références et compte m’arrêter. Voir ma liste ici) viennent me faire reprendre brièvement ma réécriture. Je les ajoute à ma liste et à mon analyse.
– à écouter/lire ici l’émission SANS OSER LE DEMANDER par Matthieu Garrigou-Lagrange.
12/01/2022
Après quelques (re)lectures botaniques “de terrain”, je reprends l’écriture de mon essai.
07/12/2021
La liste de mes lectures s’est allongée. Elle est à présent définitive.
J’ai été prise par d’autres projets et des priorités à mener de front, ce qui a engendré une mise en attente pour cet essai.
Je le reprendrai très prochainement. En attendant, je reste à l’écoute de tout ce qui peut venir enrichir ma réflexion.
03/11/2021
Quand George Sand sauvait [la forêt de] Fontainebleau, voir ici.
Secrets de fabrication : Richard Powers, voir ici
18/10/2021
La grande librairie présente sur le thème de la nature :
– Richard Powers, “Sidérations”, chez Actes sud
– Jean-Christophe Rufin, “Les flammes de pierre”, Gallimard
– Catherine Meurisse, “La jeune femme et la mer”, Dargaud
– Cyril Dion, “Animal”, Actes sud
à revoir ici (si vous êtes inscrit à TV5)
19/10/2021
Le projet reprend :
Après avoir participé au Prix Landerneaux des lecteurs 2021, après m’être rendue au Festival International des Écrits de Femmes 2021 (commentés dans mes chroniques), après une rentrée chargée pour de nombreuses raisons, je reprends mon essai.
Une relecture de fond s’impose.
Je reste disponible pour toutes suggestions/discussions littéraires que j’accueillerai avec plaisir.
Les vacances approchent. Je reprendrai mon étude à mon retour.
01/08/2021
De nouvelles lectures viennent augmenter ma liste (voir ici) avec de nouvelles topiques et de nouveaux exemples.
Je reprends mon premier jet pour y intégrer mes nouvelles réflexions.
27/07/2021
Dans « Des espaces autres », Dits et écrits, Michel Foucault développe le concept de l’hétérotopie. Je vous renvoie à mon article dédié en cliquant ici. Cette lecture nourrit ma réflexion.
28/06/2021
Je travaille sur le concept de l’hétérotopie, forgé par Michel Foucault, à savoir la localisation physique de l’utopie : les espaces concrets qui hébergent l’imaginaire.
De même, je relis Sartre et examine les termes de l’en-soi et du pour-soi.
Cela vous évoque-t-il des commentaires ?
Mon panel de références s’élargit : Ovide, Boccace, Michel de Montaigne, Voltaire, Jean-Jacques Rousseau, Charles Baudelaire, Anton Tchékhov, Colette, Émile Zola, J. K. Huysmans, Honoré de Balzac, Alain-Fournier, André Gide, Marguerite Duras, Samuel Beckett, Alex Haley, Gustave Flaubert, Kenizé Mourad, Boris Vian …
Mon plan se ramifie : à présent le développement contient 3 parties, 3 sous-parties dont deux sous-parties chacune, du type :
I. II. III.
A. B. C.
a. b.
J’ai répondu à une question d’Eterlutisse sur Babelio : “Bonjour, dans lequel de ses livres Foucault développe-t-il le concept d’hétérotopie ?”
Anne Vacquant : “Bonjour. Michel Foucault a développé ce concept à l’occasion de la conférence radiophonique diffusée le 14 mars 1967, intitulée “Des espaces autres, les Hétérotopies”. Il s’adressait aux architectes et aux urbanistes afin qu’ils repensent leur approche, qu’ils prennent conscience de leur poids dans l’établissement de la société et de son imaginaire, ainsi que de leur pouvoir de transformation et d’amélioration”.
12/06/2021
1- Mon titre évolue :
Il pourrait être : “Le paradigme vert en littérature”.
2- Mon plan aussi :
A- Introduction.
B- Développement :
3 parties avec 3 sous-parties chacune.
C- Conclusion.
– Bibliographies et annexes.
3- Je commence la relecture des notes restantes à intégrer dans mon plan.
Je remercie Ann notamment, pour ses idées qu’elle a bien voulu partager avec moi et que vous pouvez lire à la fin de l’article (voir commentaires).
09/06/2021
Mon projet se dessine :
1- Mes lectures :
a/ des fictions : voir ma liste ici.
b/ de la théorie :
– Colloque Jardin et littérature, Région Normandie, Institut Européen des Jardins et Paysages,
– Le modèle végétal dans l’imaginaire contemporain, Arbres et fleurs, présences végétales dans l’œuvre de François Cheng par Élodie Daly.
– Jardins de papier d’Évelyne Bloch-Dano.
– L’arbre et le philosophe, Du platane de Barrès au marronnier de Sartre par Philippe Zard.
– Le jardin dans la littérature fin de siècle, ou quand un motif narratif devient un objet esthétique par Sicotte Geneviève.
– Des jardins et des livres, sous la direction de Michael Jakob.
c/ diverses références :
Ovide, Boccace, Montaigne, Voltaire, Rousseau, Baudelaire, Tchékhov, Colette, Zola, Huysmans, Balzac, Alain-Fournier, Gide, Duras, Beckett, Alex Haley, Yourcenar, Kenizé Mourad, etc.
29/03/2021
Le départ du projet :
1- Choix d’un titre.
Le thème étant : “le végétal en littérature”, le titre pourrait être le même?
ou : Le végétal et l’écrit ?
ou : Nature et écriture ?
ou : Le paradigme vert ?
Qu’en pensez-vous ? Je suis ouverte à toutes suggestions.
Merci de noter vos commentaires en fin d’article.
2- Composition du corpus.
Je sélectionne des œuvres dont le titre contient un élément végétal : le nom d’un arbre, le mot arbre, jardin (s), etc.
Exemple: L’homme qui plantait des arbres de Jean Giono.
Liste prévisionnelle ici.
Lecture en cours.
Merci de m’indiquer d’autres titres que vous connaissez en fin d’article.
3- Définition des autres critères de sélection.
Ce sont des œuvres de fiction,
Elles se situent dans la littérature contemporaine (fin XXe, début XXIe siècle),
Ce ne sont pas des BD,
Ni des livres de recettes de cuisine végétarienne,
Ni des manuels écologiques,
Ce ne sont pas des livres conçus spécialement pour les enfants, mais ils peuvent parler de l’enfance ou de l’adolescence,
Le titre ne fait pas référence à un légume, agrume, fruit ou fleurs,
Les titres simplement métaphoriques sont écartés.
4- Sélection des œuvres à retenir selon mes critères.
Deuxième liste (en cours d’élaboration).
Ma liste s’allonge à mesure de mes découvertes et de mes lectures.
5- Mise en route d’une discussion sur “la description” dans les œuvres de fiction.
“À l’école, nous avons tous planché sur les descriptions de personnages ou de lieux chez Balzac, Hugo, Zola, etc.
Dans la littérature contemporaine, ces passages semblent moins nombreux.
Que pensez-vous des descriptions de paysages ?
Les lisez-vous ? Les survolez-vous ? Les passez-vous ? Qu’est-ce qui vous engage à les lire ou pas ?
Pensez-vous qu’ils sont long et fastidieux ? Décoratifs ? Inutiles ? Ou bien qu’ils apportent caractère et profondeur aux personnages et aux lieux? Ont-ils d’autres fonctions possibles ? Merci de vous joindre à cette réflexion.
Jusqu’ici, les réponses obtenues pointent principalement sur la poésie que dégagent les moments descriptifs et la rêverie qu’ils occasionnent.
Une réponse soulève la question du rythme et de la contrainte:
“Bonjour, je me suis posée la question en lisant le cycle de Syffe de P. Dewdney. Il y a énormément de descriptions qui posent l’atmosphère et nous font entrer dans le regard du personnage. Elles sont très bien écrites et poétiques, mais parfois j’ai trouvé que c’était au détriment du rythme et de l’action. De plus je n’ai pas toujours pu me faire une idée du décor malgré la foison de détails. Au lieu de laisser mon esprit imaginer l’espace, je devais faire un effort pour me représenter exactement le lieu décrit, puisqu’il m’était détaillé.
Cependant, je suis incapable de sauter des passages, trop peur de rater quelque chose 😲 !”
Voici ma réponse :
“Bonjour @M*. Je ne connais pas le cycle de Syffe de P. Dewdney mais votre intervention décèle de vraies questions. Tout d’abord, le rythme de l’action. Peut-on considérer les descriptions comme un préambule ou une pause ? Un préambule nous préparerait à une action qui va en découler alors que la pause nous “reposerait” des actions déjà écoulées ? Avant ou après, ce serait une question de temps ? Et de stratégie pour bien placer ces descriptions ?
Deuxièmement, ce qui me semble également très intéressant, c’est l’image qui résulte de ces évocations. Je suis entièrement d’accord que par des indications très (trop ?) précises, l’écrivain force le lecteur ou la lectrice à voir comme lui. C’est le pouvoir de tout créateur et en même temps c’est un leurre, car on ne jamais voir tout à fait comme quelqu’un. D’où le ressentiment de se sentir contraint, de devoir faire un effort et de ne pas y arriver totalement, alors que le plaisir de la lecture réside (aussi) dans le fait de donner libre cours à son imagination.
Et si on ne peut passer ces passages en effet, n’est-ce pas parce qu’on les sent importants malgré tout ? Puisque l’auteur ou l’autrice décidé de les écrire, on lui fait confiance ?”
6- Ébauche d’un plan.
A- Introduction
B- Développement
1- Etude des œuvres lues,
2- Etude des analyses sur les œuvres lues.
C- Conclusion
Bibliographie
C’est un plan classique. En revanche, c’est dans le développement que l’étude peut prendre un tour plus personnel, plus original. Qu’en pensez-vous?
NB : Je rappelle que votre participation établira un dialogue et vous procurera une lecture privilégiée de l’œuvre à venir. (Voir explications sur la page dédiée).
Pour plus d’intérêt, voici ma liste et mon quiz postés en ligne (voir pages connexes ici et ici).
À bientôt pour un prochain contact de votre part et merci d’avance pour votre attention, suggestions et participations.
4 commentaires
Au départ vous hésitiez entre 3 propositions pour formuler la thématique de votre essai et semblez pencher définitivement pour “Le paradigme vert en littérature” cependant, c’est le titre “Le végétal en littérature” qui a attiré mon attention et il me semble moins polysémique et moins sujet à confusion -quant au thème que vous souhaitez réellement aborder- que le mot “vert”.
(“Nature et écriture” aurait lui aussi égaré le lecteur me semble-t-il, car le mot “nature” est en pleine mutation conceptuel et chacun y met des affects très différents ce qui multiplierait les possibles controverses peu productives.)
Bonjour Ann,
Merci pour ce commentaire.
J’ai beaucoup hésité, à vrai dire j’hésite encore. Vos remarques sont très justes.
Mon premier titre me paraissait trop vaste, pas assez ciblé sur le côté technique de la langue : il pouvait s’agir de légumes, de fleurs, de cuisine végétarienne, etc.
Le mot « paradigme » introduit une notion de linguistique, de stylistique, davantage tournée vers l’écriture. Il reste polysémique en effet, mais atteste ainsi de sa « profondeur ».
Qu’en pensez-vous ?
Je retiens votre critique des mots « vert » et « nature » en revanche, qui peuvent être interprétés de façon politique, écologiste, et là n’est pas mon propos. Je vais le changer, merci.
À bientôt, j’espère.
Le mot paradigme est effectivement polysémique et intéressant. Le mettre au pluriel ou au singulier orienterait son acception (?) :
-“Les paradigmes du végétal en littérature” pourrait signifier qu’on examinera les différentes façons dont les auteurs se sont emparés du concept de végétal et la façon dont cela a orienté leur écriture. Le végétal aurait sans doute à être redéfini pour chaque auteur. (Certains le prennent comme un décor, d’autres comme un personnage, d’autres comme un alter-ego,…)
-“Le paradigme du végétal en littérature” serait un peu à prendre au sens figuré me semble-t-il et commencerait par une définition qui circonscrirait vôtre propre vision du mot et permettrait ensuite de s’attacher à montrer comment les auteurs l’ont décliné. (Le végétal pour l’un c’est un arbre, pour un autre un jardin, un espace sauvage,…)
[Je ne suis pas sûre de maîtriser l’utilisation pertinente de ce mot, mais je ne voulais pas rester muette face au débat ouvert. :”)]
Le ou les paradigmes du végétal en littérature ?
Voici une différence simple et pourtant si profonde dans le sens où elle recouvre des développements nombreux, et fructueux.
Je vais aborder ces aspects (concept et vision), mais je ne les rattachais pas précisément au pluriel ou au singulier du terme dans le titre.
Votre remarque me ramène aux définitions et me rappelle l’étendue de mon travail.
La définition du mot est: « Modèle, formule, critère, type, référence, image, exemple, gabarit, spécimen… ».
Cependant, je concevais de l’utiliser sur le plan grammatical et linguistique, à savoir:
– grammaire : « Ensemble des formes fléchies (déclinaison, conjugaison) d’un mot pris comme modèle. »
– linguistique : « Ensemble des unités linguistiques entretenant entre elles un rapport d’interchangeabilité dans un contexte donné. »
Je vous remercie de partager cette discussion avec moi. Ne vous faites aucun souci, Ann, s’il y a doute, il y a matière à réflexion. Et c’est là mon intention.
À bientôt donc, au gré de vos idées…