
Écrit : présentation d’un roman: Un jour, un livre…
Si vous êtes lecteur ou lectrice, votre opinion m’intéresse.
Si vous êtes éditeur ou éditrice, je serais heureuse que vous me contactiez afin d’envisager une éventuelle publication.

Sur la contre-marche de l’escalier qui mène à l’étage du musée Flaubert (et de la médecine) à Rouen, des citations de l’écrivain sont inscrites, tirées du Dictionnaire des idées reçues.
La citation que j’ai choisie parmi d’autres tout aussi savoureuses dit :
“Filles. Les jeunes filles : Éviter pour elles tout espèce de livres. — Articuler ce mot timidement.”
Comme vous pouvez le constater, je n’ai pas suivi ce conseil puisque je vous présente mon dernier roman:
Votre mère vous lisait-elle un livre avant de vous endormir?
Eh bien, la maman d’Iris, oui !
Mais le livre a disparu avec elle.
La fillette grandit et recherche son livre à l’aide de ses souvenirs, de ses intuitions et de ses raisonnements. Son parcours est semé d’indices et de fausses pistes. Il vous invite, vous lecteur ou lectrice, à résoudre l’énigme, et pourquoi pas, avant l’héroïne ?
Si Iris répond à quelques questions au cours de son analyse, elle en soulève d’autres. Cela ne lui suffit donc pas. Elle veut retrouver non seulement le livre, mais encore le « vrai » livre. Des surprises restent à venir.
Voulez-vous savoir ce qui l’attend ?
Je relis le roman qui m’a servi de prétexte à celui que j’ai écrit : un roman sur un roman : voilà l’idée!
Après avoir écrit la suite de ce roman (tome II), j’ai décidé de refondre les deux parties en un seul et même roman, plus long, mais plus abouti (400 pages en édition classique, 250 en poche environ).
Il me reste la possibilité de les rescinder si un potentiel éditeur préfère.
Car la question s’est posée à moi : préfère-t-on lire un roman et une suite de 200 pages chacun, ou un seul roman de 400 pages environ?
Finalement, j’ai coupé, élagué…les deux parties. J’ai fini par faire un roman complet de 150 pages, puis 99 pages A4 (sachant que le format double en version brochée).