
Robert Graves, Les mythes celtes, la Déesse blanche**/*
2011, éd du Rocher, Sciences Humaines
Riche d’un profond savoir de référence, écrit par un spécialiste de l’histoire des civilisations, cet ouvrage de quelques 582 pages rassemble une somme de données très détaillée (un peu trop pour un·e profane) sur les cultes anciens, ceux qui ont forgé notre imaginaire avant que d’autres, plus dominateurs, s’imposent et les relèguent au folklore.
Je ne lirai pas cette œuvre d’une traite, mais petit à petit. C’est pourquoi, je préfère publier aujourd’hui cet aperçu, incitant d’ores et déjà d’autres lecteurs·trices à prendre connaissance d’un univers qui diffère de la sphère judéo-chrétienne.
Citation:
– p 22 : « J’utilise le mot « mythes » dans son sens strict « d’iconographie verbale », indépendamment du sens de « fiction absurde » qu’il a acquis. »