
Michel Leiris, l’âge d’homme
1973, folio, 214 p, 2008.
Que la tauromachie soit considérée – par certains, comme par l’auteur – comme un geste viril, que la sexualité soit vue comme un acte de domination (sur la femme), que Michel Leiris aime la froideur, la dureté et la cruauté dans la tauromachie et la sexualité, ce sont des confessions a priori authentiques et bien écrites, mais dont j’ai arrêté la lecture page 74.