2008, éd 10-18, 288 p.

J’ai vu le film dont il n’a été dit que du bien : « Livre-culte dans le monde entier, Into the Wild a d’emblée fasciné Sean Penn, qui en a réalisé une adaptation cinématographique applaudie par la critique américaine. »

En 1992, Christopher McCandless, jeune homme fraîchement diplômé, part en Alaska, afin de vivre une aventure extrême, seul, loin de tout lieu habité, en communion avec la nature. Cependant, il ne sait pas distinguer parfaitement les plantes comestibles de celles qui sont toxiques, entre autres « hasards » que réserve la nature sauvage.

On aurait retrouvé une phrase qu’il aurait écrite : « Happiness only real when shared » (« Le bonheur n’est réel que lorsqu’il est partagé »).
Son périple (authentique) est retracé par Jon Krakauer, en 1996.

À l’époque où je l’ai vu, ce film m’avait beaucoup touchée. Je m’en suis forcément rappelé lorsque j’ai lu Dans les forêts de Sibérie de Sylvain Tesson (voir article dédié ici).