
Champollion à Figeac
Voici la place des écritures avec la reproduction de la pierre de Rosette, un fragment de stèle gravée datant de l’Égypte antique. Elle est importante car elle comporte trois versions d’un même texte et qu’ainsi elle a permis, au XIXᵉ siècle, le déchiffrement des hiéroglyphes.
L’inscription de la pierre de Rosette est un décret promulgué à Memphis par le pharaon Ptolémée V en 196 av. J.-C.
Jean-François Champollion Il a été le premier à déchiffrer les hiéroglyphes : « Je tiens l’affaire ! » dit Champollion le 14 septembre 1822 en découvrant la clé de leur déchiffrement.
Un musée a ouvert en 1986 dans la maison natale de Jean-François Champollion. A la façade médiévale en pierre a été adjointe en arrière plan une façade faite de cuivre et de verre laissant voir les hiéroglyphes éclairés.
Tout d’abord, le musée retrace le parcourt et les découvertes de Champollion. Ensuite, les étages supérieurs sont dédiés aux autres écritures, anciennes puis modernes.

J’ai apprécié faire connaissance avec cet égyptologue, mais n’étant pas spécialement égyptophile, j’ai surtout aimé, grâce à ce musée, voyager dans l’univers des écritures à travers le monde (Egypte, Mexique, Chine, Proche-Orient), les époques et leurs techniques : de l’écriture manuelle à la machine à écrire, puis à l’imprimerie et enfin à l’ordinateur.
Tableau des concordance des alphabets :
