
Fred Vargas, Debout les morts
2020, J’ai lu 2000, 285 p
C’est avec beaucoup d’humour, un style léger et familier que cette intrigue est menée par trois mousquetaires plus d’Artagnan, ou plutôt trois évangélistes et l’oncle/parrain.
Saint Mathieu (Mathias), Saint Marc (Marc) et Saint Luc (Lucien) sont trois érudits, pauvres, qui se partagent dans l’ordre chronologique de leur spécialité (préhistoire, Moyen âge, Première guerre mondiale) les trois étages d’une vieille baraque, plus les combles attribués à l’ex-flic pourri pour la tranche « contemporaine ».
Embringués dans une histoire de voisinage à cause d’un d’arbre planté anonymement, ils mettent au jour meurtres après meurtres et ce faisant, soudent un lien d’amitié improbable.
Citation :
– p 118 : “On file droit devant soi, on s’égare avec fermeté dans l’inconnu, on prend quelques solides résolutions contradictoires, mais en fait on méandre et puis on revient “.