
E.E. Schmitt, La rêveuse d’Ostende
Le livre de poche 2007, 246 p
La rêveuse d’Ostende (nouvelle comprise dans le recueil éponyme) :Des découvertes inattendues au cours du récit mais une fin que l’on devinait un peu ;
Crime parfait : pas vraiment parfait puisqu’il relève d’une erreur de jugement ;
La guérison : troublante découverte de la féminité grâce à un aveugle;
Les mauvaises lectures (j’en attendais beaucoup !) ;
La dernière nouvelle s’intitule : La femme au bouquet…
Je dois dire que je suis restée sur ma faim. J’avais emporté ce petit recueil en voyage – précisément à Ostende ! – et sans attendre un guide (spirituel ni touristique), je rêvais peut-être un peu. Quoi qu’il en soit, la lecture en a été agréable, comme souvent avec cet auteur.
Petite morale subversive : si vous parlez à un écrivain et que celui-ci promet de ne pas écrire votre histoire, ne le croyez pas!