
Stendhal, Armance
Le grand livre du mois, 226 p
Stendhal était l’un de mes auteurs favoris à l’université. Aujourd’hui, lorsque je relis Armance, son romantisme tragique me semble dater d’une époque où l’amour divin se disputait l’amour terrestre et où la vie des jeunes filles se résumait à choisir entre une vie programmée et une vie spirituelle impossible sur terre.
Un goût d’amertume et de déception ressort malheureusement de cette lecture.