
Michel Tournier, Vendredi ou les limbes du Pacifique
Folio, 283 p
C’est Robinson, solitaire, qui manque d’autrui, un homme qui manque d’une femme, un homme blanc qui manque d’un autre homme blanc, un être autocratique manque de consensus admiratif…mais qui finalement remplit le vide par des considérations plus essentielles que la reproduction d’un monde connu.
Il transcende ses “besoins-pour vivre” en “besoin-de vivre” et s’élève jusqu’à une communion qui passe du tellurique au solaire. Une réflexion sur l’être sociétal que nous sommes et que nous pouvons améliorer…