
John Steinbeck, La perle
Gallimard, 115 p
Une parabole fataliste sur le sens de la vie : il ne faut pas souhaiter un destin autre que celui que l’on a!
Le pauvre ne peut pas devenir riche : ce n’est pas son destin, il n’a pas les clés pour réussir et il perd ce qu’il a gagné inexorablement ; il perd même plus que ce qu’il a gagné : la perle, au lieu de faire son bonheur fait son malheur : est-ce ce sens-là qu’il faut retenir ?