
Guy de Maupassant, le Horla et autres nouvelles
Editions Carrefour, 88 p
Thilliez cite Le Horla dans Rêver que je viens de lire : la folie, le démon, l’être invisible qui écrase la poitrine et étouffe, qui vient la nuit dans les rêves et les cauchemars, etc.
J’ai donc eu envie de relire Le Horla, et en effet, des similitudes, il y en a ! le diable aux pieds de bouc, les expériences sur le sommeil, sur les rêves, sur l’isolement dans l’obscurité (cf Légende, À la Croisée des mondes de P. Pullman, Les Mangeurs de rêves de G. Dahlquist, Black room de C. Wilson, etc.).
Chez Maupassant et dans les autres nouvelles qui suivent : Amour (entre deux sarcelles), Le trou (disputé par deux pêcheurs), Sauvée (d’un mari adultère par un flagrant délit organisé), Clochette (ou Hortense qui sauve son amant au péril de sa vie), les descriptions sont toujours très éloquentes.