
Virginie Despentes, Vernon SUBUTEX (tome 1)
Le Livre de Poche, 429 p
C’est « un roman ultra serré, nerveux, dense, en forme de vrai-faux polar.“Une formidable cartographie de la société française contemporaine » déclare Nelly Kaprièlian (Les Inrockuptible).
Je suis assez d’accord avec ce commentaire auquel j’ajouterai : « un décapant au vitriole sur notre monde en décomposition…s’il restait des illusions à quelqu’un, il n’en reste plus à personne ! »
Juste une question que je me pose et que j’aimerais poser à V. Despentes : Vernon est le même prénom que le pseudo de Vian (et la même initiale que Virginie) et Subutex commence par la même lettre que Sullivan : V.S ! Est-ce une coïncidence ?
Peut-être me répondrait-elle qu’on s’en moque, et elle aurait sûrement raison . Pourtant, le ton n’est pas si éloigné : violence verbale et physique, cynisme et dérision…
Une influence? Une référence?